Good Trouble : une série féministe sur les millenials

Je ne le savais pas avant de commencer la série, mais Good Trouble est un spin-off de la série The Fosters, encore inédite en France.
C’est d’abord le synopsis qui a attiré mon attention, puis les thématiques abordées. Cette série est une vraie pépite, et colle parfaitement à tous les questionnements qui peuvent être soulevés lorsqu’on entre dans la vie active dans la vingtaine.

Good Trouble Credit: Freeform


Good Trouble
Par Johanna Johnson
Avec Maia Mitchell, Cierra Ramirez, Zuri Adele, Sherry Cola, Tommy Martinez
2019
Genre : comédie dramatique

 

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Lorsqu’elles ont terminées leurs études, les deux sœurs adoptives Adams Foster, Mariana et Callie, déménagent à Los Angeles dans un logement communautaire. Elles y font leur premiers pas dans la vie active et réalisent que tout n’est pas aussi simple qu’elles l’espéraient. Entre déboires personnels et professionnels, histoires d’amour et nouvelles amitiés, les deux sœurs ne sont pas sorties des ennuis.

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Je ne le savais pas avant de commencer la série, mais Good Trouble est un spin-off de la série The Fosters, encore inédite en France.
C’est d’abord le synopsis qui a attiré mon attention, puis les thématiques abordées. Cette série est une vraie pépite, et colle parfaitement à tous les questionnements qui peuvent être soulevés lorsqu’on entre dans la vie active dans la vingtaine.

Les deux héroïnes, bien que soeurs, sont aussi différentes que le jour et la nuit. Callie est raisonnable, secrète, discrète ; tandis que Marianna est extravertie et flamboyante. Malgré leur caractère opposé, elles sont toutes les deux unies par un amour très fort et une détermination sans faille. 

Chacune essaie de s’en sortir dans son nouvel environnement de travail. A travers Callie, c’est le monde du droit que l’on explore. Elle travaille sur une affaire délicate, qui résonne d’autant plus fort au vu du contexte aux Etats-Unis : la mort d’un Afro-Américain suite à des blessures par balles provoqués par deux policiers blancs.
Avec Mariana, c’est le sexisme au travail et le plafond de verre qui sont dénoncés dans son travail au sein d’une entreprise de nouvelles technologies.

La diversité est ce qui m’a le plus marquée dans cette série. Les personnages sont latinos, hétéros, queer, bisexuels, Asiatiques, lesbiennes/gays, Afro-Américiains, gros, minces… C’est génial de voir autant de représentation, sans tomber dans les clichés ou les stéréotypes !

En bref, j’ai adoré Good Trouble parce que cette série est très complète. En 13 épisodes, on parle de féminisme, de sexisme, de racisme, de relations amoureuses autres qu’hétérosexuelles, de tolérance, de mouvement body-positive

La bonne nouvelle ? La saison 2 devrait arriver cet été !

4 réflexions sur « Good Trouble : une série féministe sur les millenials »

  1. Seulement 13 petits épisodes ? Je sens que je vais bientôt tester avec toutes les séries que je suis dont les saisons vont se terminer ^^
    Merci pour la découverte 😀

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