Everything I Know About Love, les chroniques amoureuses d’une femme moderne

Je m’attendais à lire une sorte d’essai, une collection de textes sur l’amour au temps de Tinder. Mais finalement, Everything I Know About Love est plutôt une mini-autobiograhie de la vie amoureuse de Dolly Alderton, dans laquelle elle nous donne quelques pistes de réflexion.

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Everything I Know About Love
Dolly Alderton
Fig Tree
2018
15.24 euros / 336 pages
Note : 4/5

 

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When it comes to the trials and triumphs of becoming a grown up, journalist and former Sunday Times dating columnist Dolly Alderton has seen and tried it all. She vividly recounts falling in love, wrestling with self-sabotage, finding a job, throwing a socially disastrous Rod-Stewart themed house party, getting drunk, getting dumped, realising that Ivan from the corner shop is the only man you’ve ever been able to rely on, and finding that that your mates are always there at the end of every messy night out. It’s a book about bad dates, good friends and – above all else – about recognising that you and you alone are enough.

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Je m’attendais à lire une sorte d’essai, une collection de textes sur l’amour au temps de Tinder. Mais finalement, Everything I Know About Love est plutôt une mini-autobiograhie de la vie amoureuse de Dolly Alderton, dans laquelle elle nous donne quelques pistes de réflexion. (Elle a d’ailleurs gagné la catégorie Autobiography of the Year du prix National Book Awards 2018).

J’ai bien aimé suivre son évolution, de l’adolescence à l’âge adulte. Elle divise son récit en plusieurs chapitres thématiques : ses premiers rendez-vous ratés, premières fêtes qui dégénèrent, première relation amoureuse…

J’ai eu un peu de mal avec la première partie du livre. J’y ai découvert une femme un peu tête brûlée, irresponsable et inconsciente dès qu’il s’agit de l’alcool et de la drogue. Jusqu’au début de la vingtaine, j’ai eu du mal avec Dolly Alderton. Mais je pense que dès que son récit a commencé à coïncider avec mon âge actuel (25 ans) j’ai pu un peu plus m’identifier.

Elle ponctue chaque palier de sa vie par un chapitre sur tout ce qu’elle savait sur l’amour à 17, 20, 25 et 28 ans. C’est là qu’on voit vraiment le changement qui s’opère, la maturité qu’on gagne. C’est à travers ces réflexions en particulier que je me suis le plus reconnue. Effectivement, on n’a pas la même vision de l’amour, ni les mêmes attentes, à 17 ans et à 25.

J’ai préféré la dernière partie du livre, dans laquelle on sent que Dolly Alderton a trouvé un certain équilibre. En tout cas, le message de conclusion est beau : le seul amour dont nous avons besoin pour nous épanouir, c’est celui que l’on se donne. S’aimer soi-même est le plus important.

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